Inscriptions latines (entre 800 et 1000), fragments sculptés en réemploi, parties d’appareil en arêtes de poisson : ces éléments nous laissent supposer que l’église date d’une époque fort reculée, peut-être carolingienne (IXe-Xe siècles), avec des reconstructions successives aux XIe, XIIe, XIIIe et XVIIIe siècles. La pierre gravée sur le mur nord de la nef, plus que millénaire, a été répertoriée par Arcisse de Caumont dans sa Statistique monumentale du Calvados.